Le Bistrot du Commerce
Pizza et Burgers réunis sous le même toit garantissent rarement la réussite d’agapes.
Mais bon, passées 22h00 en semaine, nous nous contentâmes d’une pizza 4 saisons, du tiramisu dans son bocal.. jolies pâtes de verre sur fond très noir en arrière salle.
Année 2018 - 32 euros Tel 01 42 33 80 72 - 12 rue Coquillère
Liberta
Ce sont des spécialités italiennes qui sont proposées dans cet établissement décoré dans l’air du temps. Les grands et hauts murs miroirs amplifient la sensation d’espace. Le service est rapidement débordé. Les tables tournent inopinément. Les rigatoni sauce forestière sont présentés avec un bon filet de poulet bien grillé dans sa casserole.
Année 2024 - 25 euros Tel 01 40 24 67 28- 32 rue du Pont Neuf
Uno
Belle et grande pizzeria fréquentée par des blondes anorexiques et des français aux accents faussement américains.
Carte de pizze très végétariennes, mais j’en ai trouvé une faiblement couverte de jambon de Parme. Belle poire pochée au yaourt sur sablé breton.
Année 2020 - 35 euros Tel 01 42 36 20 47 - 37 rue Berger
Num
Dans l’alignement des restaurants de la rue Coquillère, nous sélectionâmes le Num, thaï
paraît-il, mais ce n’est qu’une vague impression. Beaucoup de laitue dans les plats et peu de crevettes :
salade d’avocat, pâtes de riz sauce tamarin. Encore une enseigne qui s’oubliera très vite...
Année 2018 - 29 euros Tel 01 42 33 55 55 - 10 rue Coquillère
Chez Pauline
Vieille gloire fânée ! Dans ce restaurant au souvenir bourguignon,
les plats les plus attrayants sont pourtant de poisson. Minute de langoustines aux
artichauts tuées par un abus de vinaigre balsamique, bon foie gras poêlé aux pommes
présenté sur une frisée inutile, beau tronçon de lotte aux truffes noires sur un lit de poireaux,
filets de rougets sur une insipide compote de tomates et encore du vinaigre balsamique !
Parmi les desserts désolants, un énorme baba au cognac recouvert de crème fraîche et de
mendiants. Santhenay trop vert et trop cher. Mises en bouche et mignardises pas fraîches.
Service joué par un sosie de Muriel Robin (ils montent ces putains d'escargots !) et un apprenti
grec qui rosit après s'être essayé à 2 mots d'anglais. Addition à la limite de l'arnaque.
Année 2001 - 560 frf Tel 01 42 96 20 70 - 5 rue Villedo
Le Grand Véfour
Depuis plus de 200 ans, ce restaurant a vu défilé tous les acteurs de l'histoire française et puis Bruno MEAL !
Confortablement installé à la place de Balzac, j'ai commencé la lecture de la courte carte composée de produits chers (truffes,
foie gras, homard et caviar principalement). On démarre avec des ravioles de foie gras (6 ravioles pas plus...) parsemées de copeaux de truffes,
une salade de rattes et de truffes (pas assez épaisses) au sel de Guérande. Du côté des plats, le Parmentier de queue de boeuf aux truffes (encore !)
et son émulsion de truffes (encore ! mais on s'habitue, et d'après ma concierge, la truffe fait maigrir. Joignons donc l'utile à l'agréable!),
le riz de veau avec une surprenante sauce aux oranges confites. Du côté des desserts, un intéressant artichaut confit dans une crème d'amandes,
et puis un friable de curcuma aux bananes et fromage blanc très bien présenté mais dont la saveur m'a laissé perplexe. Au moment de la visite, le Grand
Véfour venait de récupérer sa 3ème étoile au Michelin. Bon, ben finalement, on mange souvent mieux dans les **.
Année 2000 - 1200 frf Tel 01 42 96 56 27 - 17 rue de Beaujolais
Au Pied de Cochon
Encore une brasserie plus portée sur le porc sous toutes ses formes et ses plateaux de
fruits de mer. Menu étoilé (Marc Menaud) - tout semble être directement sorti sous vide... Saint Jacques trop
fines sur un lit de poireaux sauce ayant un vague goût d'anis, magrets de canard aux figues eux aussi ayant un vague
goût d'anis, poires au réglisse... et ce menu étoilé est beaucoup trop cher 228 frf sans le vin.
Année 1999 - 320 frf. Un millénaire plus tard, cette brasserie ouverte la nuit est toujours très pratique quand on sort de la dernière séance
du cinéma voisin. La carte reste toujours assez chère, on se consolera avec des portions généreuses et des produits de qualité : échine de porc confite 14 heures sur une purée de pommes
de terre aux coques, bon baba au rhum. Année 2021 - 45 euros Tel 01 40 13 77 00 - 6 rue Coquillière
Ile Sushi
Rien de neuf du côté de la gastronomie japonaise vue de Paris. L'Ile Sushi compense des prix standards par une plus faible quantité de shashimis.
Sorbets au thé vert dans sa coque de riz caoutchouteuse.
Année 2015 - 32 euros Tel 01 44 82 98 63 - 21 rue Saint Denis
Le Bis Repetita
Plus bar de nuit que restaurant, le Bis Repetita propose dans sa courte carte des plats cuisinés à l'extérieur et réchauffés à l'intérieur : saucisse au
couteau purée, cassolette de rognons, sauce glutamate à tous les plats.
Année 2015 - 28 euros Tel 01 42 60 40 11 - 167 rue Saint Honoré
Le Louchebem
Végétariens s'abstenir. Portions énormes de salade de bœuf bien assaisonné, bœuf à la ficelle, steaks tartare...
mieux vaut oublier les desserts. De toutes façons, passé le plat de résistance, on peut difficilement garder une place pour le dessert,
desserts qui eux mêmes n'ont pas vraiment d'intérêt. Mise à part une crème brûlée, le reste de la carte des desserts est
constitué de sorbets. Carte des vins un peu trop chère pour un bistro. Service aimable et rapide de garçons bouchers aux oreilles en feuilles de chou.
Année 1990-2000 -170 frf Tel 01 42 33 12 99 - 31 rue Berger
Louvre Ripaille
Salle discrète près de la colonnade Perrault. La courte carte ne manque pas d'intérêt, mais la déception est au rendez-vous.
Tout cela sent la cuisine sous vide ou surgelée achetée on ne sait où et réchauffée (trop) vite fait au micro onde. En entrée, une crème de lentilles (en bric...?)
au foie gras (en bloc...?), et des ravioles de Romans. Le pavé de cabillaud arrive juste tiède, et le filet de bar un peu racorni, servi avec du riz noir (oui!) et une
purée de betteraves (oh non!) bien trop forte. Il est précisé que les desserts sont faits maison. Je sais faire aussi les crèmes caramel. Ce restaurant a été testé dans
le cadre d'une promotion, et même après une ristourne de 40% tout cela reste trop cher.
Année 2012 - 33 eur Tel 01 42 97 49 91 - 1 rue Perrault
Au Trappiste
Avant tout, un endroit où l'on boit de la bière, et puis on y dîne (mal) assis sur des chaises inconfortables, le ventre coincé dans la table et les
coudes sur la table du voisin. Les moules à la crème arrivent froides, vides souvent et les frites sont sèches... La tatin ne relève pas le niveau. Et en plus c'est plutôt cher !
Année 2003 - 26 eur Tel 01 42 33 08 50 - 4 rue Saint Denis
Lavinia
Ce marchand de vin cache derrière ses gondoles une grande terrasse sur cour. A défaut de cour arborée,
la vue porte sur les murs très propets et ravalés de fraîche date. Pour éponger les vins servis "à discrétion", ce furent : un foie gras (très moyen),
une côte de veau réformée, un moelleux au chocolat glace au chocolat. Vertige de l'adittion.
Année 2006 Tel 01 42 97 20 20 - 3-5 Boulevard de la Madeleine
La Fermette du Sud Ouest
Les prix modérés à la carte de cette fermette attirent les touristes. Spécialités du Sud Ouest donc,
Tout semble droit sorti des chambres froides après un court passage par le micro onde.
salade au cabécou au coeur froid, confit genre sous-vide, gâteau au chocolat tirant sur le praliné.
Année 2004 - 30 eur Tel 01 42 36 73 55 - 31 rue Coquillière
L'Escargot Montorgueil
Très belle salle et ravissant escalier à colimaçon, tables très bien dressées, la carte fait la part belle aux escargots bien évidemment.
Le menu s'avère d'un bon rapport qualité prix. A la carte, les prix s'envolent dans l'au-delà.
Année 1987 - 380 frf Tel 01 42 36 83 51 - 38 rue Montorgueil
Le Poulailler
Etonnante adresse, un poulailler au cœur de Paris, les tables sont rangées autour
d'un poulailler où s'ébattent poules, canards, oies etc...Quelques plumes risquent d'atterrir
dans votre assiette. Une chaleur (température d'éclosion des œufs) règne dans ce restaurant où l'on dîne de volailles variées principalement...
Année 1986 - 120 frf Fermeture définitive
La Taverne de Maître Kanter
Brasserie Alsacienne - (Resto attrape touristes) Flamenkuche très épaisse servie avec
des gros morceaux de lardons et une couche de fromage pas frais - Choucroute de la mer (il manquait
un morceau de lotte) très moyenne - Epouvantable terrine de poire (gelée insipide). Sancerre trop jeune.
Année 1998 - 280 frf Tel 01 42 36 74 24 - 16 rue Coquillière
Bella Venezia
Le restaurant reste désert le soir en semaine. Nous dînons en compagnie de 3 japonais égarés qui n'avaient pas réussis à trouver la que trop japonaise rue Sainte Anne.
Le patron est pourtant bien aimable et ses pizzas très honorables. La tatin ne fait pas trop "sortie du frigo - 3 mn au micro ondes", et
est proposée avec glace à la vanille ou crème fraîche. Le pichet de rouge est un peu décapant.
Année 2009 - 20 euros Tel 01 42 60 02 15 - 8 rue de Ventadour
Koto
Cadre pas du tout japonais, salle assez intime à l'étage.
Les plats sont présentés sous forme de photo comme souvent dans ce type d'établissement. Nourritures dans la bonne moyenne.
Année 2003 - 16 eur Tel 01 40 13 91 41 - 35 rue Saint Honoré
Le Châtelet Gourmand
Très bonne table hélas disparue ou l'on pratiquait
une cuisine intelligente à prix doux.
Année 1992 - 240 frf Fermeture définitive
Pizza Pino
A fuir... pizza aux ananas ou aux autres fruits exotiques, la chaîne dans laquelle on ne remet pas les pieds 2 fois...
Tel 01 40 26 39 07 - 43 rue Saint Denis
Conway's
Bistro américain disparu, on y mangeait des gros hamburgers, cole slow et du bon pain de mie brioché...
Année 1987 - 135 frf Fermeture définitive
Front Page
Bistro américain (R.A.S.) Année 1986 - 60 frf. 13 années plus tard, une pluie battante nous amena à nous
réfugier dans ce restaurant. Une serveuse lasse de servir des touristes vous accueille. Le guacamolé est très épais, la salade
est aux fromages de chèvre industriel, le cœur de rumsteck demande à être mastiqué longuement. Le "News Burger" est serré
entre 2 énormes tranches de pain et les grosses frites qui l'accompagnent ne facilitent pas la digestion. La machine à café était en panne le jour de notre visite.
Année 1999 - 180 frf Tel 01 40 26 26 56 - 56 rue Saint Denis
Velloni
Très bon restaurant italien des halles. Pasta dans tous ses états. Additions élevées Fermeture définitive
Willi's Wine Bar
Bien connu des anglais, le Willi's wine bar
aux allures de bistrot parisien sert de très bons vins (Côtes du Rhône) et des petits plats honorables (pavé de saumon) et parfois, franchement bons.
Année 1987-1991 - 210 frf Tel 01 42 61 05 09 - 13 rue des Petits Champs
Le Sous-Bock Tavern
En dépit de la publicité diffusée sur les écrans voisins de l'UGC, le Sous-Bock Tavern a du mal à se remplir
le vendredi soir. Sièges pas très confortables, musique assourdissante, plats bistro très moyens. Seule, la carte des bières peut valoir le déplacement.
Année 2002 - 16 eur Tel 01 40 26 46 61 - 49 rue Saint Honoré
L'Auberge des Gourmets
Le sans-surprise d'une carte de restaurant chinois ... boeuf aux poivrons, riz cantonnais aux crevettes, soupe (très fade)
de nouilles. Mais les serviettes sont en tissu ... et on a droit à la serviette chaude en fin de repas !
Année 2004 - 17 eur Tel 01 42 60 75 47 - 5 rue du 29 Juillet
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1 Place Vendôme
Très élégante salle même si les chaises et les tables sont un peu basses
pour donner l'illusion d'une belle hauteur sous plafond.
La carte est appétissante mais la réalisation est un peu chichiteuse.
Crabe des neiges : petite boule de crabe sur une petite tranche de betterave
surmontée d'une petite mousse de chèvre servie dans une grande assiette. On
dirait 3 amuses bouchés qui se battent en duel.
Poularde : suprême sur canapé, cuisse farcie au foie gras, la fine lasagne
aux champignons. Cette dernière est moins réussie qu'à la "Cotte rôtie" (cf
12ème ardt). Le tiramisu & pomme confite entière peuvent être oubliés.
Année 2014 - 100 euros Tel 01 55 04 55 60 - 1 Place Vendôme
Hoki Sushi
Petite salle au mobilier dépareillé et usé. Ambiance chaîne-zen. Patchwork habituel des menus, mais d'où vient cette idée d'accompagner
les sushis avec du riz ?
Année 2018 - 30 euros Tel 01 42 21 48 06 - 22 rue Pierre Lescot
Café Saint Honoré
Toujours aussi compliqué de réserver une table à 22h30 à Paris en semaine. Restent ouverts généralement les
mauvais restaurants et les brasseries. Le café Saint-Honoré est à mettre dans la première catégorie. Grand écran télé diffusant du football,
heureusement sans le son. On regardera plutôt le joli plafond. Le pavé de bœuf demandé saignant est arrivé tout juste rosé.
À la carte des desserts, un millefeuille atrocement industriel.
Année 2022 - 29 euros Tel 01 42 61 49 31 - 194 rue Saint Honoré
Le Zimmer
La belle brasserie du théâtre du Châtelet fait le plein avant et après spectacle. Service efficace obligatoire, les clients ne souhaitant
pas rater le début du spectacle. Carte bistrot rapide à préparer donc, tartare bien préparé, pennes aux tomates confites et chèvre.
Les 2 petites boules de sorbet Berthillon à 10,50 euros frisent l'arnaque. Mieux vaut s'orienter vers la salade de fruits frais, honorable, bien que j'y ai découvert un
morceau d'ananas qui m'a semblé sortir d'une boîte de conserve.
Année 2014 - 33 euros Tel 01 42 36 74 03 - 1 place du Châtelet
La Robe et le Palais
A succédé au "Châtelet Gourmand". La décoration n'a quasiment pas été modifiée.
La carte est présentée sur un tableau noir. Du côté des hors-d'oeuvres, on ne déborde pas
d'enthousiasme (cassolette d'avocats au chèvre, belles huitres). La carte des poissons
fait plus saliver (très bons petits Saint Pierre au chorizo, bon Parmentier de haddock).
Les desserts sont également bien réussis (croustillant de chocolat blanc aux griottes,
mousse de dattes). La carte des vins est orientée vers la Corse, et si vous ne savez
pas quel vin choisir, le propriétaire aura l'amabilité de vous les faire goûter d'abord.
Année 2000 - 260 frf Tel 01 45 08 07 41 - 13 rue des Lavandières Saint Opportune
Baan Boran
Un des rares vrais restaurants Thai de la capitale. Le cadre m'a beaucoup rappelé mes vacances en Thailande.
Les tables sont bien dressées et les couverts sont élégants. Les entrées (coquilles de poulets, crevettes aigre- douces)
comme les plats (poissons, fruits de mer au lait de coco) sont goûteux mais toujours présentés de la même façon (sur un lit de carottes et de choux crus).
Les serveuses sont presqu'aussi élégantes que dans les palaces thailandais.
Année 2000 - 230 frf Tel 01 40 15 90 45 - 43 rue Montpensier
Le Carré des Feuillants
Entrée du restaurant un rien ringarde, fontaine néo classique sous les spots. Crêpe crue aux homards et crudités insignifiantes,
colvert en 2 services (belles cuisses) mais le blanc était très nerveux (canard très sportif), tarte aux fruits rouges insignifiante, mais bonne crème brûlée.
Année 1986 - 460 frf......
13 années plus tard, le cadre n'a pas changé, la fontaine n'était plus éclairée. Il m'a semblé que les tables étaient moins espacées,
des tables avaient été peut être rajoutées, le restaurant est victime de son succès, pas vraiment justifié. En mise en bouche, du jambon de
Bayonne, des petits harengs et un velouté d'asperge aux coquillages. On attaque ensuite un bon foie gras accompagné de pain au mais,
très grosses asperges regorgeant d'eau, accompagnées d'une ridicule petite sauce aux truffes et d'un œuf poché et frit qui n'ajoutait rien aux asperges,
rognon de veau convenable, bonne volaille à la peau bien croustillante accompagnée de mousserons et de pousses d'épinard et d'une sauce à base de
vin du Jura, étrange brownie à la rhubarbe accompagné d'une glace à la bergamote et de gingembre. Le mélange collant et visqueux n'était pas très
agréable en bouche. Mignardises traditionnelles (tartelettes aux framboises, fondant au chocolat etc...). Beaucoup trop de vins à 4 chiffres et l'heureux élu
n'avait rien de vraiment emballant ! Avec une addition qui frise les 4 chiffres, on ressort déçu (encore !).
Année 1999 - 915 frf Tel 01 42 86 82 82 - 14 rue de Castiglione
Joe Allen
Bien connu outre-atlantique, Joe Allen reste l'étendard américain de la gastronomie yankee à Paris. La longue carte
continue de proposer des plats totalement inintéressants. Des entrées, les artichauts marinés restent les plus originaux. Le
tartare de bœuf est tout décoiffé et ce ne sont pas les rognures de frites qui l'embellissent. D'immondes cerises confites rouge fluo
se dressent sur une panna cotta très industriel.
Année 2013 - 39 euros Tel 01 42 36 70 13 - 30 rue Pierre Lescot
Pizza Wawa
Charmante pizzeria non italisante, pas bondée en semaine bien qu'une réduction alléchante (-40%) était appliquée ce soir là.
Excellente et copieuse assiette de charcuteries et légumes confits à se partager à deux, bonnes pizzas, nous n'avons pas goûté aux desserts, notre panse était déjà
bien remplie. Service assurée par une blondinette à accent anglo-saxon au faux air de Ludivine Sagnier.
Année 2011 - 25 euros Tel 01 40 13 91 41 - 35 rue Saint Honoré
Le Musset
Plus café que brasserie, aucun des plats ne semble avoir été préparé sur place : avocat-crevettes, tartare fade aux frites en forme de tuile, vin
en carafe excessivement cher, + de 20 euros le 1/2 litre !
Année 2011 - 33 euros Tel 01 42 60 69 29 - 5 rue de l'Echelle
Saudade
Un des rares restaurants portugais de Paris. Décor d'azulejos bien entendu, beaucoup de plats à base de morue. Les serveurs ont des moustaches. Bon Vinho Verde.
Année 1985 - 140 frf Tel 01 42 36 30 71 - 34 rue des Bourdonnais
Aux Amis Des Halles (Le Gros Minet)
Bistrot où l'on s'entasse. Le tête à tête est difficile. Le service est assuré par une
grande brune qui a un portable soudé sur l'oreille. Les plats ne génèrent pas d'enthousiasme délirant.
Terinne, poivrons grillés, filet de boeuf au poivre et son gratin dauphinois (trop froid), confit de canard, tatin.
Année 1999 - 185 frf Tel 01 42 33 02 62 - 1 rue des Prouvaires
Les Bouchons
Joli cadre pour ce bistrot à la fois au cœur des halles mais en dehors de la foule... plats bistrot honnêtes et vite oubliés. Concerts en sous-sol...
Année 1986 - 160 frf Fermeture définitive
Aristippe
(Ex le poulailler), le décor a été gardé et blanchi, le bar a été installé à la place du poulailler.
Saint Jacques à la concassée de tomates honnêtes mais facturées au prix fort, cassolettes de coquillages
goûteuses, lapereau rôti au camembert intéressant mais servi avec des pâtes un peu trop cuites, bonne
soupe de pain au miel servi avec une crème anglaise. Service un peu lent et mal organisé, un des serveurs a la charge
de monter et descendre les plats alors que les 2 autres sont en représentation dans la salle.
Année 1999 - 310 frf Tel 01 42 60 08 80 - 8 rue Jean Jacques Rousseau
Le Souletin
Resto pour 3ème mi-temps de rugby... Quelques clients un peu arrosés... salade de chipirons
et boudin granuleux mais très bon et andouille bien grasse mais tout cela se marie parfaitement. Très bon sandre
servi avec du céleri, crème brûlée standard. Une serveuse bien en chair et bien aimable...
Année 1998 - 230 frf Tel 01 42 61 43 78 - 6 rue de la Vrillière
Au Chien qui Fume
Brasserie bistrot d'un bon rapport qualité prix. Chansons de genre.
Année 1988 - 185 frf Tel 01 42 36 07 42 - 33 rue du Pont Neuf
Martial (Twenty One)
Feu Martial, portions pantagruéliques servies par des serveurs faméliques... Une entrée et un plat suffisent à caler un goinfre, bonne cassolette de moules.
Année 1985 - 150 frf Fermeture définitive
L'Ardelène
Feu la bonne petite adresse, on pouvait y dîner pour 100 frf vin compris avec des petits plats bistro (bavette à la purée de carotte...)
Année 1985 Fermeture définitive
Pharamond
Bonne cuisine de spécialités normandes, joli cadre.
Année 1987 - 220 frf Tel 01 40 28 03 00 - 24 rue de la Grande Truanderie
Aux 3 Oliviers
Petite salle aux couleurs méditerranéennes nichée dans la paisible rue Montpensier.
Carte très courte affichant un choix de copieuses salades (aux fruits de mer, de lotte au Safran), brochettes de fruits en seul dessert.
Carte des vins très courte et beaucoup trop chère.
Année 2004 - 28 eur Tel 01 40 20 03 02 - 37 bis rue Montpensier
La Poule au Pot
Qu'est ce qu'on peut bien y manger ? En 1982, ce fut mon premier steak tartare. Comme les autres convives, jeunes collègues de bureau, je fus stupéfait de voir arriver de la viande crue,
Le temps a passé depuis. Et le tartare est devenu un classique de n'importe quel bistro lambda. 36 ans plus tard, je n'ai pas commandé cette fameuse poule au pot,
qui n'était pas à la carte d'ailleurs, mais des cuisses de grenouille à prix de luxe et un hachis parmentier de queue de boeuf, ce dernier très bon et copieux. Repris par
un second de Jean François Piège, les additions s'envolent. Année 2018 - 81 euros Tel 01 42 36 32 96 - 9 rue Vauvilliers
L'Entrecôte
Chaîne de restaurants carnivores. La fondue bourguignonne est servie à volonté.
Et on comprend pourquoi. Elle est tellement grasse qu'on est repu dès la première assiette.
Année 2000 - 130 frf Tel 01 40 28 95 30 - 38 rue Saint Denis
Carpe Diem
Ni bien ni mal située, petite salle étrangement déserte, la faute à l'éclairage tellement discret
qu'on croirait l'entrée d'un bar montant...Bref, nous étions seuls un samedi soir alors que les queues fleurissaient devant les concurrents.
La carte, et la cuisine, sont pourtant tout à fait honorables (salade de truite fumée, terrine de lapin et foie de volailles, magret de canard aux
cèpes, bavette aux grosses échalottes confites, fondant au chocolat/crème de thym, et sabayon aux fruits, hélas comprendre à la banane), et les prix raisonnables.
Année 2001 - 220 frf Tel 01 42 21 02 01 - 21 rue des Halles
Midory
Soupe un peu plus goûteuse que celles habituellement servies,
trop salée selon certains, quelques pousses de soja macérées pas
mauvaises, tempuras classiques.
Année 2002 Tel 01 42 97 47 30 - 49 rue de l'Arbre Sec
Kadoya
Un autre japonais de la rue Sainte Anne tenu par des japonais (?), clientèle de japonais cravatés chemises blanches, plats très copieux et très oubliables.
Année 2009 - 16 euros Tel 01 49 26 09 82 - 28 rue Sainte Anne
La Fresque
Bistro tout en longueur dans la portion très passante de la rue Rambuteau.
Bien que la carte ne
déborde pas d'originalités, les salades sont copieuses et les produits frais.
Année 2003 - 16 euros Tel 01 42 33 17 56 - 100 rue Rambuteau
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La Perla
Une pizzeria d'un niveau légèrement plus élevé que la moyenne : la pizza 4 saisons est bien généreuse en légumes,
le risotto aux cèpes et truffes est assez goûteux. La pana cotta est également très généreuse. Carafe de vin rouge demandé dans un seau car il faisait bien chaud ce jour là...
Année 2020 - 30 euros Tel 01 42 33 74 17 - 9 rue Pierre Lescot
Bliss
Pour les avant premières de film de l'UGC qui se terminent après 22h, cet établissement peut être recommandé. Grandes salles, tables bien espacées, la carte se limite aux burgers et pizza.
Burgers "Frenchy" avec frites pas au top, pain perdu pas très épais accompagné d'une glace coco. Très bruyant mais ferme tard.
Année 2023 - 35 euros Tel 01 40 28 99 99 - 8 rue Coquillière
Azteca
Quelques tables dans cet établissement sans prétention. La serveuse est bien aimable. Les plats sont tout à fait corrects : bon ceviche, Carne en Nogada (émincé de boeuf avec une
crème au noix et au piment pasilla) gâteau à la noix de coco bien crémeux. Une réduction de 50% sur les plats permet de contenir l'addition. Vin du Nouveau Mexique pas
vraiment emballant.
Année 2021 - 33 euros Tel 01 42 36 11 16 - 7 rue Sauval
Leader Sushi 54
Un pareil nom de restaurant fait un peu peur... Mais bon, essayer de trouver une table à 22h30 en semaine tient du miracle. Et toujours la même carte avec son menu soupe/salade/sushi/sashimi.
Rien de bien affolant pour les papilles.
Année 2022 - 21 euros Tel 06 59 15 37 41 - 54 rue Jean-Jacques Rousseau
Capri Saint Honoré
Une carte italienne où le choix peut se porter sur d'autres spécialités que les pizza... Les risottos sont bien appétissants, les burgers, un peu moins, la pizza Parme/Burrata est très correcte.
Un bon point pour les mini babas au limoncello. Service impeccable.
Année 2021 - 35 euros Tel 01 42 61 48 43 - 42 Place du Marché Saint-Honoré
Au Père Fouettard
Un grand classique des bistrots des Halles, on y entre généralement après la dernière séance de ciné... Ni bon ni mauvais :
saucisse purée, tarte façon normande.
Année 2020 - 31 euros Tel 01 40 41 94 53 - 5 rue Montorgueil
Baltard au Louvre
Cet établissement, un peu luxe, a du mal à trouver sa clientèle. Il fait face aux brasseries et pizzerias moins intimidantes. Il y a un vrai chef en cuisine, adepte des produits confits :
kabocha (petit potiron japonais) confit au sirop d'érable accompagné de champignons acidulés, maigre confit aux algues et bonite fumée, poire William confite (encore!) au beurre noisette
et au miel. Tout cela est original et plutôt réussi. Le service, est, quant à lui, un peu brouillon.
Année 2018 - 55 euros Tel 09 83 32 01 29 - 9 rue Coquillère
Goumard
Restaurant chic de poissons, ancienne maison Prunier,
déco refaite dans un style indéterminé avec des toiles d’inspiration maritime et de facture consternante,
heureusement les toilettes sont restées d’époque (j’allais dire « dans leur jus »), art déco. La
cuisine est raffinée mais pas toujours convaincante. En entrée, noix de Saint Jacques rôties,
betteraves maraîchères cuites et crues, belles portions, bel équilibre. Les ravioles de crabe,
crevette et poireau mi confit, velouté de choux fleur, sont moins convaincantes, trop dominées par le
chou-fleur. Pour suivre, la poêlée d’encornets sauvages (ah bon, il en existe de domestiques ?),
raviole de ricotta, piperade de poivrons est assez banale, je fais les encornets aussi bien. Le Saint
Pierre poêlé, pomme de terre mi confite d’artichaut et ris de veau, est plus réussi. La carte des desserts
nous laisse espérer que la malédiction en la matière touchant les restaurants de poisson est levée..
ce n’est qu’à moitié vrai ! Si les clémentines liées au jus, mousse de marron confit, sorbet agrumes,
sont rafraichissantes et subtiles, la mangue et onctueux de citron vert est molle et fadasse malgré l’original
sorbet basilic. Belle carte des vins, on s’en doute surtout en blancs.
Année 2008 - 217 euros Tel 01 42 60 36 07 - 9 rue Duphot
Gérard Besson
Table réputée pour les gibiers, c'est quelque temps après l'ouverture de la chasse que nous nous sommes décidés à dîner chez Gérard Besson.
Salle bourgeoise convenue, service bien rôdé, clientèle américaine très très bruyante. Nous laissons de côté le menu dégustation pas vraiment orienté gibier pour la carte.
En entrée : un pâté en croûte au foie gras, pas meilleur que celui que vous trouverez au rayon traiteur de votre supermarché, un consommé très clair.
En plat de résistance, un lièvre à la "Royale" que j'imaginais à déguster à la cuillère (!) Il arriva comme un tournedos, pêtrifié dans une sauce marronasse
accompagné par de correctes tagliatelles aux champignons. Le dessert, meilleur moment du dîner : un fenouil confit, poivré sur une crême glacée.
A la lecture de l'addition, je n'y retournerais pas sous peu !
Année 2006 - 170 eur Tel 01 42 33 14 74 - 5 rue du Cop Héron
Kong
Adresse très courue de l'été 2003. Ce nouvel établissement "furieusement mode" s'est installé sur le toit d'un des anciens
immeubles de la Samaritaine reconverti en temple Kenzo. C'est sous une bulle de verre que l'on dîne, le regard porté sur le batiment Vuitton ou la Seine.
La déco Stark en partie fait oublier une carte assez courte, et très mode. Salade de copeaux de légumes crus (5 calories max), salade d'agrumes au chèvre,
lotte grillée au charbon accompagnée d'une purée bétonnée. La carte des pâtisseries, signée Hermé, ne fait pas grimper aux rideaux (et ça tombe bien, car il y a juste un store!).
La tarte au citron est présentée comme dans toutes les pâtisseries lambda. L'addition est fatalement trop chère.
Année 2003 - 55 eur Tel 01 40 39 09 00 - 1 rue du Pont Neuf
Macéo
Les anglais oenophiles du Willy's Wine Bar ont donc repris le classieux Mercure Galant,
et maintenant, cela s'appelle le Macéo. La grande salle du rez de chaussée, toujours aussi agréable et
lumineuse, a été redécorée dans des tons chamois et rouge, avec des jolies lumières. Le menu à 35 euros
semble une affaire. Les entrées ( vinaigrette de faisanne au foie gras, tartare de haddock ) sont un peu faiblardes,
mais les plats, genre néo-classiques, sont vraiment réussis: joue de porc à l'orientale (bien caramélisé, et
servi avec de la semoule), aiguillette de canard aux figues et petits légumes . Très bons desserts: macaron à l'ananas, tiramisu aux poires et à la coco rapée.
Le sommelier nous oriente sur un Alentejo 1997, tannique et
flatteur, mais un peu décevant au final. On aurait du rester sur les côtes du rhône, spécialité de
la maison, pardon, du groupe.
Année 2004 - 68 euros Tel 01 42 97 53 85 - 15 rue des Petits Champs
Gambino
Serait ce la proximité du faubourg Saint Honoré qui fait s'envoler les prix de cette pizzeria tout à fait correcte ? Pizza à 20 euros et plus, idem pour les plus simples plats de pâtes...
et les vins en carafe au prix des bouteilles !
Année 2012 - 32 euros Tel 01 42 60 12 70 - 6 rue Gomboust
Le Juvenile's
Annexe du Willy wine's bar. Salle toute en longueur fréquentée par des anglais.
Décoration minimale (je soupçonne que les dessins d'enfant qui sont encadrés soient ceux
de la fille du patron, par ailleurs "aide-serveuse", l'esclavage des enfants anglais n'a pas changé depuis Dickens).
Encornets et poivrons marinés dans du vin, triste caille en salade, bonne saucisse Duval mais pas assez chaude
servie avec une bonne purée de pommes de terre, entrecôte médiocre servie avec de bien tristes légumes, bon crumble
avec de la glace vanille, vin très alcoolisé.
Année 1999 - 195 frf Tel 01 42 97 46 49 - 47 rue de Richelieu
Le Safran
Et l'on retrouve Caroll Sinclair dans le 1er arrondissement. La formule "menu surprise à 160 frf" reste inchangée. La
cuisine cherche ses marques. On démarre avec une salade d'écrevisses et de calamars sur de la romaine, la
vinaigrette (trop salée) est maquillée à l'asiatique avec ses cacahuètes pilées et la sauce de soja. De
beaux poissons et une langoustine constituent la bouillabaisse. Le dessert manque de consistance,
c'est une mousse au chocolat arrosée d'une sauce au chocolat. Comme toujours la déco est bricolée
mais la cuisinière est toujours aussi sympathique.
Année 1999 - 240 frf Tel 01 42 61 25 30 - 29 rue d'Argenteuil
Pizza Oskian
Un des derniers établissements de la rue Saint Honoré qui a échappé à la rénovation. Tout y est dans la décoration des année 80'.
Les tables alignées comme à la cantine, les briques apparentes, la carte des desserts sponsorisés par un certain marchand de glace.
Poivron grillés, pizza retourné mais pas calzone au jambon de Parme, pizza au salami piquant, et un tiramisu tirant sur un vilain moka industriel.
Année 2010 - 26 euros Tel 01 42 60 23 80 - 139 rue Saint Honoré
Le La Rochelle
Grande chaîne brasserie dédiée aux produits de la mer. La maîtresse d'hôTelpapillonne de
table en table afin de calmer des clients désespérés par un service d'une telle lenteur. Au bout
d'une heure, elle est sidérée de voir que notre bouteille de vin est enfin arrivée sur notre table.
Bons poissons mais sauces pas assez réduites. Prix fatalement élevés.
Année 1995 - 270 frf Fermeture définitive
Chez Fabrice
La salle toute en longueur avec son style Louis XIII est bien ingrate. Heureusement,
la cuisine fait oublier le décor. Blancs de seiche à la provençale, filet de hadock au beurre blanc
sur lit de poireaux (le cuisinier a la main un peu lourde sur le beurre), lapin aux olives, bonne tatin aux mangues.
Année 2001 - 230 frf Tel 01 40 20 06 46 - 38 rue Croix des Petits Champs
L'Assiette Lyonnaise des Halles
Service expédié en moins de 30 minutes. L'addition vous est présentée pendant que vous vous bagarrez avec un mauvais morceau de crumble.
Le jarret de porc n'est pas mauvais lui.
Année 2002 - 17 eur Tel 01 42 36 51 60 - 14 rue Coquillière
La Vigne
Ancien bistrot - bonnes terrines servies avec de la confiture d'oignon.
Année 1990 - 190 frf Fermeture définitive
Bistrot de la Gare (ou Romain)
Ne manger que le Carpaccio (de bœuf ou de saumon) à volonté servi avec des frites ou des pâtes. Le reste
n'a aucun intérêt si ce n'est le prix, très raisonnable. Cadre graisseux de l'établissement des Halles.
Années 1985 à 1998 Tel 01 40 26 82 80 - 30 rue Saint Denis
Au Diable des Lombards
Steak frites et quoi d'autre ?
Année 1987 - 120 frf Tel 01 42 33 81 84 - 64 rue des Lombards
Pavillon Baltard
La mauvaise brasserie du carré, il en fallait bien une...
Année 1987 - 190 frf Tel 01 42 36 22 00 - 9 rue Coquillière
L'Ecluse
Bon bistro à vins, bordeaux uniquement, trop chers.
Année 1987- 180 frf
Le Comptoir
Décor qui fut branché... cuisine conçue par Olympe mais beaucoup moins réussie que celle du Virgin Mégastore.
Année 1991 - 160 frf Tel 01 40 26 26 66 - 14 rue Vauvilliers
Le Bistrot du Boucher
Et encore une chaîne de bistrots ! Le millefeuille de tomates ne précisait pas qu'il était accompagné d'anchois,
et j'aime pas les anchois ! Autrement le rapport qualité prix est convenable.
Année 2000 - 140 frf Tel 01 40 26 65 34 - 25 rue de la Reynie
Chez Yanne
Comment massacrer un bel endroit ? Demandez à Yanne ! La couleur du plafond caca d'oie ainsi que le bar constitué
d'empilements de casiers plastique de bouteilles confirme que l'on a affaire à un pro. Et les plats ne remontent pas le niveau :
tristes salades, pavé de rumsteak sauce aux cèpes à peu près correct.
Année 2002 - 23 eur Tel 01 45 08 50 01 - 14 rue Jean Jacques Rousseau
Don Vito
Bien que située sur un tronçon stratégique de la rue Rambuteau, cette pizzeria n'attire pas les foules. Mais c'est bien sûr !
Année 2003 - 11 eur 78 rue Rambuteau
Pasta Ricca
L'adresse parisienne type où vous ne retrouverez pas de clientèle d'habitués.
Service inexistant, prise de commande fantôme. L'osso buco demandé avec frites arrive avec des pâtes...le sorbet framboise est au citron...
les pizzas ressemblent quand même à des pizzas mais les artichauts ne sont plus très frais...les non-fumeurs sont priés de
changer de table en cours de dîner (!). L'adresse ne devrait pas résister longtemps.
Année 2007 - 20 euros Tel 01 40 26 65 34 - 25 rue de la Reynie
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